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Jean de Cambrai (* um 1350/55 in Roupy; † 1438 in Bourges) war ein picardischer Bildhauer und als solcher von 1386 bis 1416 im Dienst des Herzogs Jean de Berry.

Er wird oft als künstlerischer Nachfolger von André Beauneveu angesehen, obwohl dazu keine Schriftquellen existieren. Allenfalls der Altersunterschied zwischen den beiden und der Umstand, dass beide für 15 Jahre als Bildhauer beim Herzog von Berry angestellt waren, verbindet Jean und André biographisch. Die Werkstätten werden wohl parallel auf den zahlreichen Baustellen des Herzogs gearbeitet haben. Bis zum Tod seines Arbeitgebers im Jahr 1416 war Jean de Cambrai primär mit der Ausstattung der Sainte-Chapelle in Bourges betraut.

Jeans Werke sind von einer großen Nüchternheit, bemerkenswert gerade aufgrund einer streng geometrischen Konstruktion der Volumina und einer Einfachheit der Formen, die fast bis zur Abstraktion geht (etwa bei den Kitteln und Kleidern, die den Körper des Herzogs umhüllen). Die Kleidung ist auf eine Kombinationen aus großen Flächen und langen Falten reduziert, verbunden mit einer großen Zurückhaltung des Ausdrucks (z. B. die Bewegungen der Trauernden am Grab des Herzogs oder die Sanftheit der Gesichter der Jungfrau und des Kindes in der Madonna des Célestins). Die Werke können aber auch realistisch sein, insbesondere in der Gestaltung der Gesichter.

Im Gegensatz zu burgundischen Skulptur, wie sie etwa in der Kartause von Champmol anzutreffen ist und die für einen Großteil der Kunst der ersten Hälfte des 15. Jahrhunderts prägend war, gelang Jean de Cambrai mit seiner Skulptur ein französischer Alternativentwurf, der vor allem in dem Schaffen des Philippe Colombe (tätig in Bourges von 1434 bis 1457) fortbestand, der ihn wiederum an seinen Sohn Michel Colombe weitergab.[1]

On suppose qu’il naquit dans la petite ville de Picardie Roupy, près de Saint-Quentin, car un document de 1375-76 le mentionne comme Jehan de Rouppy, tailleur de pierre franque travaillant à la sculpture de la cathédrale de Cambrai[2]. Dans un livre de compte de 1387, il est encore nommé Jehan de Rouppy de Cambrai puis simplement Jean de Cambrai.

En 1386, on le retrouve à Bourges en tant qu'ymagier de Jean de France, duc de Berry (percevant 15 francs par mois)[3], titre et somme qui montrent déjà une forme de reconnaissance, qui plus est, reconductible : Vorlage:Citation bloc

Vers 1390, Jean de Berry commence les travaux de la Sainte-Chapelle de Bourges, inaugurant un chantier décoratif sur lequel Jean de Cambrai a vraisemblablement beaucoup œuvré voire dirigé.

1397, son ascension sociale se confirme : il loge dans l'une des maisons du Duc, et Jehan de Rupy autrement de Cambray porte le titre envié de varlet de chambre de Mgr le duc de Berry[4].

Un document relatif au tombeau de Bertrand du Guesclin à la Basilique Saint-Denis, en 1397, mentionne Vorlage:Citation[5]Vorlage:,[6].

Dans un État de la Maison du duc, daté de 1401-1402, il apparaît parmi les trente-trois valets de chambre en tant qu'imagier[7].

Avant 1403, il épouse Marguerite Chambellan, apparentée à la meilleure bourgeoisie de la ville (cf. son épitaphe). Il s'affirme ainsi comme l'ancêtre de la famille de Cambrai/Cambray, adoptant des armoiries de gueules à trois cérots d'or, 2 et 1[8]Vorlage:,[9].

 
Blason famille de Cambray (Berry)

Le Vorlage:Date-, Jean de Cambrai reçoit de Charles VI l'ordre de la Cosse de genêts - distinction, parcimonieusement attribuée par le roi qu'il doit vraisemblablement en grande part à son mariage avec Marguerite Chambellan : Vorlage:Citation bloc

Toujours en 1403, le Duc de Berry décide de faire de la Sainte-Chapelle de Bourges son lieu de sépulture : on suppose que c'est à ce moment-là que Jean de Cambrai se voit confier la réalisation du tombeau du duc.

Aucun document le concernant n'a été retrouvé entre 1403 et sa mort.

Le Vorlage:Date-, Jean de Montaigu, grand maître de France sous Charles VI dédicace solennellement le monastère des Célestins à Marcoussis - à cette occasion le duc de Berry offre à son ami une Vierge à l'Enfant. Cette sculpture, actuellement conservée en l'Église Sainte-Marie-Madeleine de Marcoussis, possède nombre des caractéristiques du style de Jean de Cambrai.

Sa femme meurt en 1413 (cf. son épitaphe).

À la mort du duc de Berry (1416), il est vraisemblable que, faute de paiement, il s'arrête de travailler au tombeau du duc[10] - le tombeau est en tous cas, resté inachevé, lorsqu'en 1449 Charles VII qui désire achever la sépulture de son grand oncle, achète à ses héritiers l'Vorlage:Citation[11]. Le tombeau du duc est ainsi l'unique œuvre documentée de Jean de Cambrai.

Après 1416, il aurait travaillé pour le roi Charles VII si l'on en croit le témoignage de Chaumeau (1566)[12].

Il meurt en 1438, inhumé en l'église des Cordeliers à Bourges, église aujourd'hui détruite. Son épitaphe nous a cependant été conservée grâce à la retranscription de Thaumas de la Thaumassière (1689)[13]Vorlage:,[14] : Vorlage:Citation bloc.

Descendance

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Son fils aîné Jean II de Cambray devint panetier de Charles VII puis conseiller et maître de comptes de Charles, duc de Berry - il est le père de Guillaume de Cambray, archevêque de Bourges de 1492 à 1505. Un autre fils Étienne de Cambray devint évêque d'Agde de 1448 à 1460[15].

Son œuvre

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Tombeau du duc Jean de Berry (1404-16)

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Le gisant du duc

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Le duc de Berry a longtemps hésité sur le choix de son lieu de sépulture : grâce à un document émanant de Philippe le Hardi, frère du duc, nous savons qu'il se fixe sur la Sainte-Chapelle de Bourges en 1403 au plus tard. Il est alors vraisemblable mais non documenté que le duc passe commande de son vivant à son imagier, le sculpteur Jean de Cambrai. Il est tout aussi vraisemblable qu'à la mort du duc en 1416, faute de paiement, Jean de Cambray s'arrête de travailler[14] : nous savons qu'en 1449 Charles VII désireux d'achever la sépulture de son grand oncle achète aux héritiers de Jean de Cambrai, Vorlage:Citation[16] - à noter qu'en fait d'albâtre il s'agit de marbre. Commence alors une seconde campagne : le gisant est achevé - en albâtre cette fois - par des sculpteurs flamands parmi lesquels Etienne Bobillet et Paul Mosselman. La translation du tombeau dans la crypte de la cathédrale Saint-Étienne, lors de la destruction de la Sainte-Chapelle en 1756 a donné lieu à un procès-verbal établi par l'ingénieur Trézaguet[17]Vorlage:,[18]. La Révolution entraîne de graves mutilation du tombeau: dispersion des pleurants, destruction des côtés avec les niches d’albâtre, mais le gisant échappe au vandalisme[18]. Par la suite, François-Alexandre Hazé propose une reconstitution en 1840[18], avant celle de Paul Gauchery, en plâtre qui sera finalisée en 1920[19], cette dernière est aujourd'hui exposée au Palais Jacques-Cœur.

La juxtaposition de volumes géométriques, le traitement abstrait et le poli des drapés et enfin le réalisme du portrait du Duc définissent les caractéristiques du style de Jean de Cambrai[20].

La tête, le corps et l'ours semblent formés de trois volumes simplement mis bout à bout et non liés[21]. Le traitement des draperies accentue cette conception schématique : elles enveloppent de leur masse rigide le corps qu'elles recouvrent en le faisant disparaître derrière une sorte de carapace. Les mains sont dégagées sans que le mouvement de la draperie soit interrompue Vorlage:Citation[21].

Quant à la face malheureusement mutilée du gisant, elle se caractérise par son réalisme, jointe à une accentuation des traits et des volumes, signifiant tour à tour l'affirmation des muscles et l'affaissement des chairs. Le jeu varié des rides est original : des rides profondes de part et d'autre du nez ; des rides juste incisées, superficielles sur le front; des rides formant des demi-cercles concentriques très réguliers autour du globe oculaire avant de remonter en patte d'oie vers les tempes...

A noter qu'aux pieds du duc Jean de Berry, le traditionnel lion (symbole de force mais aussi de la résurrection) est remplacé par un ours : cet unicum iconographique s'explique par l'emblématique du prince[22].

L’œuvre conserve quelques traces de polychromie et de dorure.

Il a été trouvé d'autres vestiges du tombeau en marbre - donc lié à la première campagne avant 1416 - notamment cinq pleurants mais aussi un gâble, tous attribués à Jean de Cambrai.

Les cinq pleurants de Jean de Cambray

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Parmi les trente-cinq pleurants connus[23] issus du tombeau de Jean du Berry, un groupe de cinq ont en commun d'être réalisés en marbre - comme le gisant, et de posséder à l'arrière une zone lisse et plate[24]. Leur facture, notamment le traitement des drapés, leur grande sobriété rappelle inévitablement les caractéristiques de l'art de Jean de Cambrai. Les trente autres en albâtre sont dus à plusieurs sculpteurs et ont été réalisés à la reprise de l'ouvrage voulue par Charles VII vers 1450.

Ces cinq pleurants sont actuellement répartis entre plusieurs musées :

  • Pleurant voilé, cachant son visage derrière ses mains voilées, Bourges, musée du Berry (inv. 1836.5.1)
  • Pleurant de trois quarts, Bourges, musée du Berry (inv. 1836.5.2)
  • Pleurant, Saint-Pétersbourg, Musée de l'Ermitage (inv. H.CK.324) (ancienne collection Basilewsky)
  • Pleurant avec capuchon rabattu, Paris, musée du Louvre (inv. RF 2016-3-1) (ancienne collection Denys Cochin)
  • Pleurant au rosaire, Paris, musée du Louvre (inv. RF 2016-3-2) (ancienne collection Denys Cochin)

Vorlage:Citation bloc

Les volumes sont très simples, géométriques[21]. Le point culminant de cette tendance à l'abstraction est atteint avec les pleurants dont le corps paraît nié[21] : ainsi l'extraordinaire Pleurant voilé. Inimaginable sans le précédent du premier tombeau de Champmol, sa sobriété expressive l'oppose complètement à l’apparat funéraire dramatique des figures bourguignonnes[25].

Le sommeil des apôtres (v. 1400)

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Jean de Cambrai, Le sommeil des apôtres (vers 1400), Bourges, Musée du Berry

Les longues mains et les drapés caractéristiques évoquent l'art de Jean de Cambrai[20], tandis que les visages rappellent celui du Christ du relief du musée du Louvre (Le Christ, entouré de chérubins, portant l'âme de sa mère R.F. 981). L'appartenance au dais du gisant du tombeau ducal ne peut être démontrée. Sans appartenir au tombeau, l’œuvre peut aussi provenir du décor d'un autel de la Sainte-chapelle de Bourges[26].

Vierge des Célestins de Marcoussis (1408)

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Jean de Cambrai, Notre-Dame de Grâce, église Sainte-Madeleine, Marcoussis

Jean de Montaigu, grand maître de France sous Charles VI entreprend de construire à Marcoussis un monastère pour les Célestins. Invité aux festivités de la dédicace (prévue le Vorlage:Date-), le duc de Berry offre à son ami une image de nostre Dame de marbre ou d'albâtre blanc de six pieds de haut[27] - dans les faits, la statue mesure Vorlage:Unité soit un peu plus de 5 pieds. Aussi dénommée Notre-Dame-de-Grâce, elle est aujourd'hui conservée en l'église Sainte-Marie-Madeleine de Marcoussis.

L'iconographie est originale : la Vierge est debout - à une époque où la Vierge est toujours représentée assise[28], et porte sur son bras droit l'Enfant, ou plutôt le retient, car l'Enfant vif semble vouloir basculer comme s'il tentait de lui échapper, Vorlage:Citation[28].

Le goût si marqué de Jean de Cambrai pour les formes simples, fondées sur des juxtapositions de volumes se manifeste par la position de l'enfant, le bras de la Vierge placés tous deux au milieu du corps de la Vierge, pour limiter le déhanchement provoqué par le poids de l'enfant, et ainsi accentuer à la fois le rythme vertical et la pure composition géométrique - pyramidale - de l’œuvre[28].

La sensibilité du sculpteur éclate dans le visage serein et gracieux de la Vierge[28]Vorlage:,[29], qui, pour Baudoin[6], Vorlage:Citation.

À noter également le traitement des mains aux très longs doigts dont les phalanges ne sont pas clairement séparées très similaire à ceux du Pleurant au rosaire (du Louvre) et des apôtres dans le Sommeil des apôtres[30].

Autre trait caractéristique de l’œuvre de Jean de Cambrai est la composition recherchée du vêtement de la Vierge. Au sommet il est voile, écrin, entourant délicatement le visage de la Vierge. Et si son pan gauche plonge de toute la hauteur, le pan droit montre d'abord les arabesque des plis retroussés autour du bras supportant l'Enfant; puis naissant sous le bras, les plis cannelés qui s'amplifient en descendant - selon un principe déjà remarqué dans les pleurants, le gisant et le Sommeil des Apôtres. Ils finissent par dévider sur le socle en arêtes plus vives (cf. pleurant 17)[30] tournant autour du pied droit de la Vierge qu'ils laissent dégagé.

La surface est à la fois lisse, sobre, rythmée et traduit remarquablement la souplesse du tissu. Ici pas le moindre jeux de motifs, de broderies sur les vêtements, aucun des effets d'arabesques que le Vorlage:Smiley: Der Parameter XIV wurde nicht erkannt!Vorlage:Smiley/Wartung/ErrorVorlage:Smiley/Wartung/xiv  s'est plut à multiplier. Et partout Vorlage:Citation (A. Erlande Brandeburg)[28].

majoritairement attribuées

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  • Le sommeil des apôtres (v. 1400), Bourges, musée du Berry (inv. 1891.24.1)[31]
  • Vierge et l’Enfant (1408), église de Marcoussis.
  • Tombeau du duc Jean de Berry (1404-16)
    • Gisant du duc, Bourges, Cathédrale Saint-Étienne 2,15 m x 1,44 large x 15 centimètres
    • Pleurant voilé, cachant son visage derrière ses mains voilées, Bourges, musée du Berry (inv. 1836.5.1)[32]
    • Pleurant de trois quart, Bourges, musée du Berry (inv. 1836.5.2)[33]
    • Pleurant, Saint-Pétersbourg, Musée de l'Ermitage (inv. H.CK.324)[34]
    • Pleurant avec capuchon rabattu, Paris, musée du Louvre, acquis en 2016 (inv. RF 2016-3-1)[35]Vorlage:,[23]
    • Pleurant au rosaire, Paris, musée du Louvre, acquis en 2016 (inv. RF 2016-3-2)[36]Vorlage:,[23]

souvent attribuées

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D'autres œuvres provenant de la sainte-chapelle de Bourges :

  • Priants de Jean de Berry et de Jeanne, Bourges, Cathédrale Saint-Étienne, crypte (provenant du porche de la Sainte-Chapelle)
  • Les prophètes[37].
  • Les têtes d'apôtre[38].
  • Les têtes d'anges similaires présentes dans trois musées berrichons (Bourges, Châteauroux, Issoudun)[39].
  • Le Christ emportant l'âme de sa mère au paradis, marbre, Paris, Musée du Louvre, inv. R.F.981
  • les statues de l'église paroissiale de Morogues : Saint Jean Baptiste, Homme de cour, La Vierge et L'Enfant.

mais aussi

autrefois attribuées

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  • Le groupe sculptural de Notre-Dame-la-Blanche, autrefois en la Sainte-Chapelle de Bourges, est aujourd'hui considéré comme datant de 1370 environ, et ainsi attribué à l'imagier du duc à cette époque : Jacques Collet.
    • Notre-Dame-la-blanche, Bourges, Cathédrale Saint-Étienne
    • Les priants ducaux de notre-Dame-la-blanche, Bourges, Cathédrale Saint-Étienne
      • Tête originelle du duc, Bourges, musée du Berry (inv. D. 1891.8.1)[40]
      • Fragments du livre de prière, Bourges, musée du Berry (inv. D. 1968.4.30)[41]
  • Tombeau de Du Guesclin (1397), Saint Denis[6]
  • Tombeau de Philippe de Morvilliers, Musée de Louvre[6]
  • Vierge à l'Enfant, Notre-Dame du Marthuret, Riom (Puy-de-Dôme)

Bibliographie

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  • Pierre Pradel: Nouveaux documents sur le tombeau de Jean de Berry, frère de Charles V. In: Fondation Eugène Piot. Monuments et mémoires publiés par l'Académie des inscriptions et Belles-Lettres (1957), S. 141–157.

Notes et références

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Vorlage:Références

Articles connexes : sculpteurs et ymagiers de la Cour de Bourgogne

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Liens externes

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Vorlage:Autres projets Vorlage:Liens

Vorlage:Portail


[[Catégorie:Naissance à Roupy]] [[Catégorie:Sculpteur français du XIVe siècle]] [[Catégorie:Sculpteur gothique]] [[Catégorie:Sculpteur d'art sacré]] [[Catégorie:Date de naissance non renseignée (XIVe siècle)]] [[Catégorie:Décès en 1438]] [[Catégorie:Décès à Bourges]]

  1. Vgl. Pradel 1957, S. 157.
  2. Vorlage:Harvsp
  3. Vorlage:Harvsp
  4. Bibl. nat., ms. fr. 11490
  5. Vorlage:Harvsp qui renvoie à A. de Montaiglon 1855 p.129
  6. a b c d Vorlage:Harvsp
  7. Bibl. nat., ms. fr. 7855, fol. 620 publié par Champeaux et Gauchery, repris par Vorlage:Harvsp
  8. Vorlage:Harvsp
  9. Vorlage:Harvsp
  10. Vorlage:Harvsp
  11. Vorlage:Harvsp
  12. Vorlage:Harvsp
  13. Vorlage:Harvsp
  14. a b Vorlage:Harvsp
  15. Vorlage:Harvsp
  16. Vorlage:Harvsp
  17. Vorlage:Harvsp
  18. a b c Vorlage:Harvsp
  19. Vorlage:Harvsp
  20. a b Vorlage:Harvsp
  21. a b c d Vorlage:Harvsp
  22. Vorlage:Harvsp
  23. a b c Vorlage:Harvsp
  24. Vorlage:Harvsp
  25. Referenzfehler: Ungültiges <ref>-Tag; kein Text angegeben für Einzelnachweis mit dem Namen Pradel57.146.
  26. Vorlage:Harvsp
  27. Vorlage:Harvsp
  28. a b c d e Vorlage:Harvsp
  29. Vorlage:Harvsp
  30. a b Vorlage:Harvsp
  31. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°49)
  32. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°44.1)
  33. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°44.2)
  34. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°44.3)
  35. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°44.4)
  36. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°44.5)
  37. Vorlage:Harvsp (cat. Vorlage:N°17-22)
  38. Vorlage:Harvsp (cat. Vorlage:N°29-31)
  39. Vorlage:Harvsp (cat. Vorlage:N°32-33)
  40. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°27)
  41. Vorlage:Harvsp (cat Vorlage:N°28)